![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 1/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_1.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 2/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_2.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 3/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_3.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 4/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_4.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 5/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_5.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 6/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_6.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 7/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_7.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 8/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_8.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 9/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_9.1000x1000.jpg)
![Photographie sur la flore de l’usine Pebeco 10/10](/site/assets/files/1047/at_pebeco2_10.1000x1000.jpg)
Fermée en 2011, la fonderie Pebeco, située à Port-Brillet, en Mayenne (53), est laissée à l’abandon. Achetée pour un euro symbolique par la mairie, cet espace de plusieurs hectares est encore aujourd’hui à l’état de ruine : dépollution et remise aux normes sont trop onéreuses pour envisager une quelconque réhabilitation. Cet abandon prolongé a favorisé l’émergence d’une végétation rudérale adaptée à cet environnement pourtant considéré comme impropre.
Travail mené en collaboration avec Elisa Bon.