En 2011 la fonderie Pebeco, basée à Port-Brillet (53) ferme ses portes, c’est la fin d’une histoire industrielle dont les prémices remontent au XVIIIe siècle.
Les employés sont licenciés, et l’ensemble du matériel de l’usine est vendu aux enchères. Les locaux sont achetés par la mairie pour un euro symbolique. Dépollution et réhabilitation étant trop onéreuses, le lieu est depuis laissé à l’abandon : l’usine est une coquille vide qui s’étiole.

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